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Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence (AI Gen)

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L’histoire Intemporelle de la Musique, de l’amour et de la Résistance au Cœur de Paris

« La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux. »
— Victor Hugo

Google’s Deep Dive Podcast : Justine — Une symphonie parisienne de défi et de révérence

Introduction

Plongée dans le Paris des années 1920, l’histoire de Justine illustre la puissance de la musique comme moteur de rencontre, de résistance et de mémoire. Nous explorerons trois axes principaux : la rencontre musicale entre Justine et Jaurès, leur vie sous l’occupation et leurs actes de résistance, puis l’héritage durable de leur passion partagée. Chacun de ces volets révèle comment l’amour de la musique transcende les obstacles, forge des liens indéfectibles et laisse une trace impérissable. À travers une narration immersive et des détails historiques, cet article propose un regard inclusif sur le destin singulier de ces deux âmes créatives. Préparez-vous à découvrir comment une simple mécanique – le Pathéphone – est devenue l’instrument d’une révolution intime et collective.

La rencontre et la communion musicale

En 1920, Justine, célibataire et moderniste, fait tourner son Pathéphone dans un salon de Montparnasse, attirant l’attention non par sa beauté, mais par son irradiation créative. Jaurès, violoniste engagé et socialiste, ressent la force de son écoute comme un appel irrésistible. Cette première nuit au bord de la Seine, ils ne parlent guère, mais leur musique tisse un dialogue plus éloquent que n’importe quel discours. Les disques de jazz, Debussy et les expérimentations dadaïstes deviennent autant de ponts entre leurs univers respectifs. Ce moment inaugural pose les bases d’une relation fondée sur le respect mutuel, l’admiration artistique et la quête d’une harmonie plus vaste que la simple performance. Leur communion musicale symbolise l’union de l’individuel et du collectif, où chaque note est un engagement partagé.

Vie et résistance sous l’occupation

Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, Paris sombre dans le silence oppressant de l’occupation. En 1942, Jaurès est arrêté pour ses opinions politiques et sa musique subversive. Plutôt que de fuir, Justine reste, armée de son Pathéphone et d’une détermination sans faille. Chaque soir, elle diffuse les solos de violon de son compagnon, défiant les interdits et maintenant vivante la flamme de la liberté. Ces actes, simples en apparence, résonnent comme un manifeste de résistance culturelle. Elle transforme son salon en tribune clandestine, rappelant à ses voisins et à l’ennemi que la musique est un langage universel et indomptable. Ce courage silencieux témoigne de l’engagement de deux artistes renommant l’art en arme pacifique.

Héritage et mémoire intemporelle

Après la guerre, Justine et Jaurès retrouvent la vie normale, mais leur histoire ne s’éteint pas avec les dernières notes sur le disque. Jusqu’aux années 1970, leur appartement près de la rue des Martyrs reste un sanctuaire musical où le Pathéphone tourne inlassablement. Leur voyage à Berlin, Tanger ou Vienne, et leur refus de la possession, illustrent une vision de l’art comme bien commun. Les débats entre littérature, philosophie et esthétique (Baudelaire, Marx, Picasso) jalonnent leur quotidien, faisant de chaque disque un acte de partage intellectuel. Leur passion légitime une idée forte : la musique lie les époques, traverse les frontières et scelle les coeurs. Ainsi, leur duo se perpétue dans la mémoire collective des amateurs de musique et des résistants culturels.

Conclusion

En récapitulant, nous avons suivi la rencontre magique entre Justine et Jaurès, exploré leur vie de résistance sous l’occupation et admiré l’héritage poignant qu’ils ont laissé derrière eux. Chaque volet souligne que la musique est bien plus qu’un simple divertissement : elle est catalyseur de rencontres, vecteur de résistance et gardienne de la mémoire. Le parcours de ces deux Parisiens nous invite à célébrer l’inclusion, le partage et la solidarité artistique. À travers le Pathéphone, ils nous enseignent qu’un art sincère peut ébranler les silences les plus épais. Puissions-nous retenir de leur histoire la force d’une symphonie intime capable d’unir les âmes et de résister au temps.


Justine – Un Pathéphone Dans Son Cœur

Paris, 1920

Justine était une femme célibataire, indépendante et têtue qui vivait à Paris en 1920. Elle était résolument moderniste, embrassant le changement culturel, avec une attirance particulière pour tout ce qui était mécanique — surtout le phonographe Pathéphone. Lors des événements sociaux, elle s’éloignait de la foule et se tournait vers la musique, qu’elle adorait. La musique n’était pas qu’un passe-temps pour elle — c’était une force, un langage, une grande part de sa vie et de sa personnalité.

Un soir, lors d’un rassemblement bondé à Montparnasse, elle tourna de nouveau le dos aux hommes qui tournaient autour d’elle comme des papillons de nuit. À la place, elle se pencha sur un Pathéphone brillant avec son grand pavillon en laiton, sélectionnant des disques 78 tours en gomme-laque avec la précision et le soin d’une conservatrice. Un disque après l’autre, elle les jouait non pas pour attirer l’attention, mais pour la joie, créant une symphonie de son propre cru. Ses amies l’encourageaient en trinquant et riant. Les hommes boudaient — peu habitués à être ignorés.

Tous sauf un.

Jaurès était un musicien connu et un socialiste convaincu. Il portait le poids de l’après-guerre dans sa musique — mélancolique et fière, emplie de lutte et d’espoir. Son violon s’exprimait en tons douloureux, mais lui-même était silencieux, sérieux et contemplatif. Beaucoup l’aimaient pour sa musique, mais l’évitaient pour ses convictions politiques. Ce soir-là, il ne s’intéressait ni à la mode, ni aux flirtations banales, ni aux bavardages inutiles — seulement à un verre tranquille de cognac dans un coin.

Jusqu’à ce qu’il entende le phonographe joué comme une symphonie.

Il l’observa de l’autre côté de la pièce — non parce qu’elle était belle (bien qu’elle le fût, d’une manière austère et sans fioritures), mais parce qu’elle traitait la machine et la musique comme quelque chose de sacré. Elle ne se produisait pas : elle résonnait. Et cela, pour Jaurès, était rare.

Il s’approcha. Elle leva les yeux, déjà à moitié souriante. Il y avait quelque chose en lui… quelque chose qu’elle perçut.

Ils parlèrent — d’abord du disque qu’elle venait de jouer. Puis d’autres. Puis de compositeurs. Puis de mouvements. Puis de sens. Cela coula de source. Rapidement, la fête s’évanouit autour d’eux. Ils se retrouvèrent dehors sous la lune, leur souffle visible dans l’air frais, parlant sans fin : de philosophie, de politique, de Dieu, de révolution, de son, de silence, d’art, de guerre, d’hommes, de femmes.

Elle écoutait avec intensité. Il parlait avec passion. Elle le laissa faire. Puis elle le fit taire.

Aussi soudainement que cela avait commencé, elle l’attrapa. Sans préambule ni permission, mais avec force et désir. Elle l’entraîna dans une alcôve sombre le long de la Seine et l’embrassa si fort qu’il laissa tomber son cognac, le verre se brisant à leurs pieds. Elle le remarqua, mais cela la rapprocha encore plus de lui, avec un abandon sauvage qu’elle désirait depuis des années, sans jamais l’avoir trouvé. Jusqu’à cette nuit-là.

« Tu vas me ramener chez moi », dit-elle — ce n’était pas une demande, mais une déclaration.

Ils marchèrent dans les rues calmes de minuit à Paris, les ombres s’accumulant entre les lampadaires à gaz. Lorsqu’ils arrivèrent à son appartement, il hésita. Il lui offrit une bonne nuit galante, mais elle attrapa le revers de son manteau, ouvrit sa porte et l’attira à l’intérieur, dans son domaine.

L’intérieur du loft avait de hauts plafonds et était rempli de musique — partitions, instruments, disques, l’odeur du bois et de la cire. Ils ne parlèrent plus cette nuit-là, pas avec des mots.

Ils firent de la musique jusqu’à l’aube, puis succombèrent enfin au sommeil.

L’appartement de Justine n’était pas grand, mais il débordait de vie. Les rayons du soleil filtraient à travers des rideaux de mousseline ce premier matin, et la musique flottait dans chaque recoin au crépuscule. Son Pathéphone trônait comme un autel au centre de tout cela, avec des disques 78 tours empilés à côté — du jazz de La Nouvelle-Orléans, du Debussy, et beaucoup d’étranges enregistrements dadaïstes de Zurich et de Berlin. Elle vivait entourée de contradictions : livres poussiéreux et chrome étincelant, verres d’absinthe et plans, robes de soie suspendues à côté d’un casque de moto.

Cette première nuit avec Jaurès n’était pas une culmination — c’était une ignition.

Il se réveilla au doux bruissement d’elle dans la cuisine, pieds nus, enveloppée dans une robe comme un moine du modernisme, versant du café pendant que le Pathéphone murmurait une sonate pour violon mélancolique. Elle l’avait placée intentionnellement — une pièce polonaise qu’il avait mentionnée une seule fois, à peine, la nuit précédente. Déjà, elle prouvait qu’elle écoutait d’une manière que personne n’avait jamais eue.

Il se leva, encore à moitié dans ses rêves. Ils ne parlèrent pas. Les mots étaient rares entre eux le matin, mais leurs silences étaient des conversations : son regard longeant la courbe tachetée de son épaule, son sourire en coin alors qu’elle posait l’aiguille sur un disque.

Ils devinrent inséparables — mais jamais dépendants.

Leur amour grandissait non par la possession, mais par le reflet. Elle était la flamme, lui la fumée. Ou peut-être l’inverse. Ils se lisaient mutuellement : Baudelaire, Marx, Colette. Ils se disputaient au sujet de Stravinsky et de Saint-Simon. Ils débattaient des mérites des distorsions de Picasso et de la montée du futurisme à Rome. Il défiait son individualisme ; elle taquinait son collectivisme. Elle croyait que les machines pouvaient être de la poésie ; il disait que les violons étaient des machines pour l’âme.

Les soirées appartenaient à la ville. Ils erraient dans Montmartre et le Quartier Latin, se glissant dans des cafés où les serveurs les connaissaient, et parfois dans des réunions anarchistes, où Justine défiait chaque orateur jusqu’à ce qu’ils quittent le podium.

Les nuits leur appartenaient. La lumière des bougies dansait sur les pavillons en laiton et les violons brisés. Ils dansaient pieds nus sur des parquets usés, Justine tenant le bras du Pathéphone comme un calice, tandis que Jaurès improvisait un contrepoint au violon avec une corde manquante.

Un hiver, alors que la révolution chuchotait dans les ruelles des usines et que le champagne coulait encore lors des soirées mondaines, Justine fit une proposition — sans proposition.

« Nous ne nous marions pas », dit-elle. « Nous vivons. Cela suffit. »

Il acquiesça. Il n’avait jamais voulu la posséder, seulement graviter autour d’elle.

Les années passèrent. Le Pathéphone se raya et se cabossa, mais il chantait encore. Les disques s’usaient, mais ils tournaient encore. Ils voyagèrent ensemble à Berlin, à Tanger, à Vienne — où Justine frappa un fasciste dans un café, et Jaurès embrassa ses jointures ensuite.

Elle vieillit comme l’obsidienne — sombre, polie, inflexible. Il vieillit comme le parchemin — froissé, doré, fragile dans son humanité.

Lorsque la Seconde Guerre menaça, ils retournèrent à Paris. La ville s’assombrit de nouveau, comme en 1914, mais leur maison resta une lampe de musique et de folie.

En 1942, Jaurès fut arrêté — ses opinions trop bruyantes, sa musique trop bouleversante. On la prévint, doucement, par des amis. « Pars. Tu es encore libre. »

Mais elle ne partit pas. Elle resta. Elle fit tourner le Pathéphone chaque nuit, assez fort pour que les voisins entendent. Elle jouait des enregistrements de son violon, encore et encore, comme si le son pouvait résister au silence, comme si l’amour pouvait résonner si fort qu’il noierait les bottes dans la rue.

Quand il revint — miraculeusement, amaigri et gris — il la retrouva exactement pareille. Attendant. Un disque tournant. Le même café, les mêmes livres. Un baiser si long qu’il plia le temps.

Ils vécurent jusque dans les années 1970, oubliés par beaucoup, vénérés seulement par quelques-uns qui se souvenaient. Paris changea, et le monde aussi. Mais dans leur appartement près de la rue des Martyrs, un Pathéphone jouait toujours, et deux âmes dansaient encore, défiantes et tendres, obstinées, sublimes.


Les Chansons

Pourquoi 18 Chansons?

Dans la culture française, le nombre 18 porte une signification riche—à la fois symbolique, historique et émotionnelle. Il est avant tout le numéro d’urgence des pompiers, évoquant la protection, l’urgence, et l’intervention passionnée—une métaphore idéale du sauvetage émotionnel ou de l’incendie intérieur. Sur le plan historique, le « 18 Brumaire » marque un tournant majeur : le coup d’État de Napoléon Bonaparte en 1799, qui mit fin à la Révolution française et inaugura une nouvelle ère—associant le 18 à des thèmes de bouleversement, de transformation et de renaissance. D’un point de vue culturel, 18 est l’âge de la majorité légale, le moment où l’on acquiert pleinement ses droits, son indépendance et la reconnaissance sociale—le passage de l’innocence à la souveraineté. Pour un·e francophile, le 18 ne se réduit pas à un simple chiffre, mais incarne un symbole d’éveil, de puissance et de changement, nourri par le feu, l’histoire, et la révolution.

Deux Fois

Verse 1

Dans le jardin du château endormi
Les fleurs s’inclinent sous la lune pâle
Entre les murs de pierre, mes pas ralentis
Cachent un message, oh si fragile

Chorus

Les fleurs parlent en silence
Dans ce jardin d’espérance
Je trace les mots interdits
Pétale par pétale, la nuit
(La vie est ainsi)
Post-chorus

La, la la la, la la la
(La vie est ainsi)

Verse 2

Chaque matin je tresse les tiges
Dans une danse de blanc immaculé
Les gardes passent, ignorant les vestiges
De nos rencontres dans l’herbe perlée

Chorus

Les fleurs parlent en silence
Dans ce jardin d’espérance
Je trace les mots interdits
Pétale par pétale, la nuit
(La vie est ainsi)

Solo

Medieval harp and vielle instrumental

Bridge

Dans l’aube naissante
Les pétales dansent
Le temps s’arrête
Quand les fleurs chantent
Notre romance

Verse 3

Au crépuscule, tout disparaît
Mais les bouquets gardent nos secrets
Dans ce langage que nous seuls connaissons
L’amour fleurit en toute saison

Chorus

Les fleurs parlent en silence
Dans ce jardin d’espérance
Je trace les mots interdits
Pétale par pétale, la nuit
(La vie est ainsi)

Outro

La, la la la, la la la
(Les fleurs parlent toujours…)

Vinyl crackle fades out

Obsidienne

Intro – harpsichord flourish

Verse 1

Dans les couloirs silencieux du soir
Je marche seule, pas après pas
Ces regards fixes dans l’obscurité
Me poursuivent, ne me quittent pas

Refrain

Les yeux qui me suivent toujours
Les yeux qui me suivent toujours
(Les yeux, les yeux)
Sans adieu, sans un mot d’amour

Verse 2

Chaque visage peint sur les murs anciens
Garde son secret, son mystère profond
Je cherche en vain une trace du temps
Dans ces pupilles qui jamais ne dorment

Refrain

Les yeux qui me suivent toujours
Les yeux qui me suivent toujours
(Les yeux, les yeux)
Sans adieu, sans un mot d’amour

Bridge

Putain, je voudrais fermer les yeux
Mais ils sont là, ils sont partout
Ces témoins muets de mes aïeux
Qui me fixent jusqu’au bout

Verse 3

La poussière danse dans la lumière
Ces visages me connaissent par cœur
Je vieillis seule sous leurs regards
Pendant qu’ils restent dans leur splendeur

Refrain

Les yeux qui me suivent toujours
Les yeux qui me suivent toujours
(Les yeux, les yeux)
Sans adieu, sans un mot d’amour

Outro

Les yeux qui me suivent toujours
(Qui me suivent)
Les yeux qui me suivent toujours
(Sans adieu)
Les yeux qui me suivent toujours
harpsichord fades

Renaissance

Verse 1

Je marche seule ce soir
Sur les quais mouillés par la pluie
Les pas sur les pavés
Font danser mes pensées d’autrefois
Le vent me porte la musique
D’un accordéon qui joue au loin

Pre-chorus

Oh-la-la-la, la vie qui passe
Oh-la-la-la, le temps s’efface
Chorus

Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs
(Dansent comme mes souvenirs)
Les lumières sur la Seine racontent mon histoire
(Racontent mon histoire)

Verse 2

Le parfum de la nuit
Me rappelle nos rendez-vous
Sur ce même chemin
Où maintenant je suis toute seule
Les couples qui passent devant moi
Font tourner la valse du temps

Pre-chorus

Oh-la-la-la, la vie qui passe
Oh-la-la-la, le temps s’efface

Chorus

Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs
(Dansent comme mes souvenirs)
Les lumières sur la Seine racontent mon histoire
(Racontent mon histoire)

Bridge

Minuit sonne
Le cœur résonne
La Seine coule
Le temps roule

Verse 3

Je ne regrette rien
Car la vie m’a bien appris
Que chaque moment compte
Comme ces reflets sur l’eau
Et ce soir je comprends enfin
Que ma danse continue toujours

Chorus

Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs
(Dansent comme mes souvenirs)
Les lumières sur la Seine racontent mon histoire
(Racontent mon histoire)

Outro

Oh-la-la-la… (Les lumières dansent)
Oh-la-la-la… (Les souvenirs dansent)

Allées

Piano intro: soft, gentle arpeggios

Verse 1

Entre les rayons
Je marche doucement
Quelqu’un tourne une page
Le temps s’arrête, un instant

Chorus

Dans les allées, chaque silence a son histoire
Dans les allées, les mots deviennent mémoire
Piano interlude

Verse 2

Une jeune fille lit
Les yeux fermés parfois
Un vieil homme sommeille
Sur sa chaise en bois
Les étudiants, têtes baissées
Écrivent leur avenir

Chorus

Dans les allées, chaque silence a son histoire
Dans les allées, les mots deviennent mémoire
Piano bridge

Verse 3

Les amoureux cachés
Derrière les dictionnaires
Une mère et son enfant
Parcourent les imagiers
Le soleil d’après-midi
Traverse les fenêtres
Les poussières dansent
Dans la lumière

Chorus

Dans les allées, chaque silence a son histoire
Dans les allées, les mots deviennent mémoire

Outro

Je garde leurs secrets
(Je garde leurs silences)
Entre les pages du temps
(Entre les pages blanches)

Lettres Intemporelles

Intro: Piano

Verse 1

Dans ce tiroir ancien
Des papiers jaunis
Une enveloppe sans timbre
Et ton nom écrit de ma main
Je tremble un peu
Les mots d’hier me regardent
Comme un reproche doux
Dans la lumière du soir

Pre-chorus 1

Les phrases que je n’ai pas envoyées
Dansent encore sur le papier
(Sur le papier, sur le papier)

Chorus

Dans ce tiroir, les mots jamais dits
Cachés depuis vingt ans, mon amour
Dans ce tiroir, notre histoire endormie
Réveillée par mes doigts, ce jour
(Ce jour, ce jour)

Verse 2

“Mon cher amour,” j’écrivais
“Je pars demain matin”
Les mots si simples maintenant
Impossibles à dire avant
Le temps a passé
Mais l’encre est toujours là
Sur cette page froissée
Qui garde nos secrets

Pre-chorus 2

Les phrases que je n’ai pas envoyées
Me reviennent comme hier
(Comme hier, comme hier)

Chorus

Dans ce tiroir, les mots jamais dits
Cachés depuis vingt ans, mon amour
Dans ce tiroir, notre histoire endormie
Réveillée par mes doigts, ce jour

Bridge

Ah…

Extended vocalization

Le temps qui passe
Ne change rien aux regrets
Mais peut-être… peut-être…

Final Verse

Cette lettre restera
Dans son tiroir fermé
Car les mots d’aujourd’hui
Sont différents de ceux d’hier

Outro

Dans ce tiroir…
Les mots jamais dits…
(Jamais dits…)

Verse 1

Je te vois là, si loin de moi
Dans la lumière du soir
Une petite voix qui parle tout bas
Me ramène dans l’histoire
Les années passent comme le vent
Mais ton rire reste présent

Chorus

Réflexions

Dans ce miroir, deux âmes dansent
(Deux âmes dansent)
Le temps nous tient en balance
(En balance)
Je cherche encore ton innocence
Dans cette douce ressemblance

Verse 2

Les yeux fermés, je peux te voir
Jouer dans le jardin
Les rubans bleus, les beaux espoirs
D’un bonheur enfantin
Les souvenirs comme un parfum
Me ramènent vers ce matin

Chorus

Dans ce miroir, deux âmes dansent
(Deux âmes dansent)
Le temps nous tient en balance
(En balance)
Je cherche encore ton innocence
Dans cette douce ressemblance

Bridge

Je te parle tout doucement
Comme une confidence
Entre nous deux, le temps suspend
Son vol en silence

Verse 3

Les années m’ont appris enfin
À voir au-delà
De ce reflet qui me retient
Entre hier et là
Je tends la main vers cet instant
Où nous dansons maintenant

Chorus

Dans ce miroir, deux âmes dansent
(Deux âmes dansent)
Le temps nous tient en balance
(En balance)
Je cherche encore ton innocence
Dans cette douce ressemblance

Contradiction

Verse 1

Je m’assois devant ma coiffeuse ce soir
Les bougies vacillent sur le velours noir
Chaque soir je contemple ton portrait
Dans ce cadre doré qui ne change jamais
Ces soirées au Moulin, ces valses sans fin
Où ton regard cherchait le mien
Tu dansais comme un prince, mon bel inconnu
Dans ces salons où je t’ai perdu

Chorus

Dans ce miroir, je vois mille visages
Mais le tien seul reste à travers les âges

Verse 2

Les années passent comme l’eau sous les ponts
Les robes de soie, les bijoux, les passion
Tu m’appelais ta “petite étoile”
Quand Paris dormait sous son voile
Ces lettres parfumées, ces mots d’amour
Que tu m’écrivais chaque jour
Maintenant s’effacent dans le temps qui fuit
Comme des roses fanées dans la nuit

Chorus

Dans ce miroir, je vois mille visages
Mais le tien seul reste à travers les âges

Bridge

Le temps a changé nos destins
Les valses se sont tues au matin
Mais dans mon cœur, comme une flamme
Brûle encore notre mélodie, mon âme

Verse 3

Je trace du doigt les lignes du passé
Sur cette glace qui refuse d’oublier
Les violons jouent encore notre chanson
Dans les échos de ma raison
Ces souvenirs sont mes seuls trésors
Plus précieux que les robes d’or
Et chaque nuit, dans mes pensées qui dérivent
Je danse encore, belle et vive

Chorus

Dans ce miroir, je vois mille visages
Mais le tien seul reste à travers les âges

Parfum d’Absinthe

Verse 1

Mon verre attend
Le sucre fond doucement
La cuillère d’argent
Dans mes doigts dansant
Comme ton regard brûlant
Goutte à goutte, mon amour
Pre-chorus

(Mmm… la la la)
Je prépare notre poison
Avec tant de passion
Chorus

Goutte à goutte, mon amour
L’eau claire sur le sucre, toujours
La fée nous appelle au rendez-vous
Goutte à goutte, jusqu’au bout
Ce soir nous serons fous
Dans les bras l’un de l’autre, nous deux

Verse 2

L’absinthe verdit
Mes lèvres te sourient
Le temps ralentit
Nos corps se rapprochent ici
Dans cette danse qui nous unit
Goutte à goutte, mon amour

Pre-chorus

(La la la… mmm)
Le parfum nous enivre déjà
Cette nuit nous guidera

Chorus

Goutte à goutte, mon amour
L’eau claire sur le sucre, toujours
La fée nous appelle au rendez-vous
Goutte à goutte, jusqu’au bout
Ce soir nous serons fous
Dans les bras l’un de l’autre, nous deux

Bridge

L’heure est venue
Mon corps contre le tien
Plus rien ne nous retient
(Ah… la la la)

Le Calcul Infini

Verse 1

Je te regarde de loin
Tu ne me vois pas encore
Dans l’espace entre nous deux
Les lignes se dessinent, doucement

Pre-chorus

Les angles de nos regards (la-la-la)
Se croisent dans l’air du soir
Les angles de nos regards (la-la-la)
Une danse calculée

Chorus

Tangente de mon cœur
Qui suit ta trajectoire
Les angles de nos regards
Se multiplient ce soir
(La-la-la, la-la-la)

Verse 2

Chaque pas mesuré
Dans ce ballet précis
Les distances varient
Selon nos mouvements
La formule parfaite

Pre-chorus

Les angles de nos regards (la-la-la)
Se croisent dans l’air du soir
Les angles de nos regards (la-la-la)
Une danse calculée

Bridge

Dans l’infini de tes yeux
Je trace des cercles parfaits
Ma main cherche la tienne
Comme deux points sur un plan
(Oh-oh-oh)

Verse 3

Les parallèles se brisent
Quand tu t’approches de moi
L’équation se résout
Dans un seul mouvement

Chorus

Tangente de mon cœur
Qui suit ta trajectoire
Les angles de nos regards
Se multiplient ce soir
(La-la-la, la-la-la)

Notes de Café

Verse 1

Sur la place du Tertre, tranquillement
Je m’assois, je regarde les passants
Son chevalet usé, ses pinceaux fatigués
(La la la, doucement)

Chorus

Les portraits du dimanche
Le temps qui s’épanche
Dans ses mains qui tremblent un peu
(Oh, les portraits du dimanche)

Verse 2

Les touristes défilent devant lui
Il capture leurs sourires, leurs vies
Ses traits sont moins précis qu’autrefois
(La la la, autrefois)

Chorus

Les portraits du dimanche
Le temps qui s’épanche
Dans ses mains qui tremblent un peu
(Oh, les portraits du dimanche)

Bridge

Maintenant la place a changé
Son chevalet reste rangé
Je passe, je me souviens
De ces dimanches anciens

Final Chorus

Les portraits du dimanche
(Les derniers portraits)
Le temps qui s’épanche
Dans nos cœurs qui tremblent un peu
(Oh, les portraits du dimanche)

Rêverie de Jazz

Intro

La-la-la, la-la-la-la
(Mmm… la-la-la…)

Verse 1

Je prends mon café comme avant
Dans ce bistrot charmant
L’air du matin si doux, si lent
Me berce doucement
Et puis soudain, je l’entends
Un son si familier
Qui fait danser le temps
Dans mon cœur oublié

Chorus

Son rire danse encore
Dans l’air du café
Son rire danse encore
Et je ne peux m’empêcher
(La-la-la, la-la-la…)

Verse 2

Les tasses tintent en cadence
Avec mes souvenirs
Dans cette douce romance
Qui me fait sourire
Je ferme les yeux un instant
Les notes de jazz s’envolent
Et mon cœur maintenant
Joue son propre rôle

Solo

Guitar and violin trading solos

(La-la-la… mmm…)

Bridge

Le temps a passé
Mais ce son précieux
Reste gravé
Dans mes jours heureux

Chorus

Son rire danse encore
Dans l’air du café
Son rire danse encore
Et je veux le garder

Outro

La-la-la, son rire danse
La-la-la, dans le silence
(Son rire danse encore…)
(Son rire danse encore…)

Lanternes

Intro

(Mmm… la la la…)

Verse 1

Dans le bleu du soir qui s’installe
Les premiers volets s’ouvrent lentement
Une mélodie verticale
Entre les murs d’appartement

Pre-chorus

Chaque fenêtre, une lanterne
Dans la pénombre qui descend
(Ooh, dans la pénombre…)

Chorus

Les lumières s’éveillent une à une
Comme des lanternes de papier
Chaque histoire sous la lune
Un tableau qu’on ne peut copier
(Un tableau… mmm…)

Verse 2

Au troisième, une silhouette danse
Piano solitaire au cinquième
Deux amants dans leur romance
Au septième, un enfant qui sème

Chorus

Les lumières s’éveillent une à une
Comme des lanternes de papier
Chaque histoire sous la lune
Un tableau qu’on ne peut copier

Bridge

Je compte les vies qui brillent
(La la la…)
Dans cette galerie fragile
(Ooh… la vie…)

Verse 3

Le temps suspend son vol ce soir
Entre les rideaux de dentelle
Mes yeux gardent leur mémoire
De ces fenêtres qui m’appellent

Outro

(La la la… mmm…)
Les lanternes de papier
S’éteignent dans la nuit
(Doucement… la nuit…)

Lèche-Vitrine

Verse 1

Ma petite robe, que me racontes-tu?
Ces aventures d’un temps révolu
Sur mes épaules, tu étais si belle
Dans les soirées pleines d’étincelles

Pre-chorus

(La la la, dis-moi tout)
(La la la, je t’écoute)

Chorus

Ma petite robe, que me racontes-tu?
Des souvenirs qui me font sourire
Ma petite robe, que me caches-tu?
Des moments qu’on ne peut pas traduire

Verse 2

Je me souviens de ce soir de mai
Quand il m’a prise dans ses bras, j’aimais
Ton tissu doux contre ma peau
Tu gardais tous mes secrets, mes mots

Pre-chorus

(La la la, dis-moi tout)
(La la la, je t’écoute)

Chorus

Ma petite robe, que me racontes-tu?
Des souvenirs qui me font sourire
Ma petite robe, que me caches-tu?
Des moments qu’on ne peut pas traduire

Breakdown

Spoken, with soft piano

Ah, ma confidente de soie
Tu as vu mes joies, mes peines
Mes danses jusqu’au matin
Et maintenant… maintenant…

Bridge

Le temps a passé, mais tu es là
Témoin silencieux de mes pas
Dans mes tiroirs, oubliée peut-être
Mais dans mon cœur, toujours en fête

Final Chorus

Ma petite robe, que me racontes-tu?
(Oh, raconte-moi encore)
Ma petite robe, que me caches-tu?
(Ces histoires que j’adore)

Outro

La la la, la la la
(Tous ces beaux souvenirs)
La la la, la la la
(Qui me font tant plaisir)

Éphémère

Verse 1

Je regarde le temps qui passe
Dans ce reflet si familier
Mes doigts effleurent la surface
Où tout semblait multiplié

Chorus

Le temps s’arrête, je le vois
Dans ce moment cristallisé
Mes yeux fixés, je ne bouge pas
Les aiguilles sont figées
(Les aiguilles sont figées)

Verse 2

Les larmes coulent en silence
Sur le verre froid du matin
Je garde cette souvenance
D’un au revoir sans lendemain

Piano Solo

Dramatic rubato, building intensity

Chorus – Final

Le temps s’arrête, je le vois
Dans ce moment cristallisé
Mes yeux fixés, je ne bouge pas
Les aiguilles sont figées
(Les souvenirs gravés)

Printemps Violet

Verse 1

Les murs du jardin, si tranquilles
Le temps passe comme l’eau
Dans l’air du matin si fragile
Je vois son visage, si beau

Chorus

Chaque printemps me rappelle
Les après-midis chez elle
(Les après-midis, les après-midis)
Le parfum violet qui danse
Dans l’air de mon enfance
(Mon enfance, douce enfance)

Verse 2

Ses mains ridées sur la terre
Plantaient des fleurs en rangées
Les grappes tombaient en prière
Sur nos têtes protégées
Les papillons de septembre
Dansaient dans la lumière d’ambre

Chorus

Chaque printemps me rappelle
Les après-midis chez elle
(Les après-midis, les après-midis)
Le parfum violet qui danse
Dans l’air de mon enfance
(Mon enfance, douce enfance)
Bridge

J’entends sa voix qui chantonne
Les vieilles chansons d’autrefois
Le vent dans les feuilles résonne
Comme les notes de sa voix

Verse 3

Maintenant je suis plus âgée
Que celle dans mes souvenirs
Le jardin reste inchangé
Les fleurs continuent de fleurir
Et quand je ferme les yeux
Je sens encore ses cheveux
Qui me caressent doucement
Comme les pétales au vent

Final Chorus

Chaque printemps me rappelle
Les après-midis chez elle
(Les après-midis, les après-midis)
Le parfum violet qui danse
Dans l’air de mon enfance
(Mon enfance, dernière danse)

L’effacement de Cristal

Verse 1

Je te regarde
Dans cette lumière matinale
Plus fragile que le verre
(Plus fragile que le verre)

Verse 2

Tes yeux fermés
Les mots qui se brisent
Plus fragile que le verre
(Plus fragile que le verre)

Bridge

Ma petite, ma fille
Tellement de temps perdu
Tape manipulation effect

Plus fra-fra-fragile
Plus fragile que le verre

Verse 3

Les photos sur la table
Nos mains qui se touchent presque
Plus fragile que le verre
(Plus fragile que le verre)

Outro

Je te vois partir
Comme une danse lente
Plus fragile que le verre
Plus fragile…

Nocturne

Intro – piano waltz in minor key

Je marche seule ce soir
Dans cette salle abandonnée
Les rideaux se balancent
Et mon cœur commence à trembler
Danse avec moi une dernière fois
Danse avec moi une dernière fois
Je sens ta présence ici
Un parfum que je connais bien
Tes pas sur le parquet ancien
(Sur le parquet ancien)
Et le temps qui s’arrête enfin
Danse avec moi une dernière fois
Danse avec moi une dernière fois

Orchestral crescendo

Dans tes yeux je vois encore
Tous nos moments d’autrefois
Ta main froide dans la mienne
Me guide dans nos pas lents
Je ne veux pas te laisser partir
Mais l’aube arrive doucement
Danse avec moi une dernière fois
Danse avec moi une dernière fois

Les notes s’estompent
(S’estompent)
Le jour se lève
(Se lève)
Tu t’éloignes déjà
(Tu t’en vas)
Danse avec moi une dernière fois
Danse avec moi une dernière fois
(Une dernière fois)
Orchestral fade

L’écho des Contraires

Verse 1

Le papier blanc
Sous ma main
Les mots pesants
Sans fin
La plume danse
En silence

Pre-chorus

Je trace les lignes
Comme avant
Les phrases dignes
Du temps présent

Chorus

J’écris sans adresse
Dans le vide
Mes tendresses
Qui résident
Dans ces pages
Sans voyage

Verse 2

Chaque matin
Je reprends
Ce même refrain
Comprends
Que les mots restent
Si modestes

Bridge

La la la la
(Mmm, mmm)
Ah ah ah ah
(Ooh, ooh)
Vocalise

Verse 3

L’encre s’étend
Sur mon coeur
Les sentiments
Sans peur
Les mots s’effacent
Dans l’espace

Chorus

J’écris sans adresse
Dans le vide
Mes tendresses
Qui résident
Dans ces pages
Sans voyage

Outro

(Mmm, sans adresse)
Dans le silence…

TATANKA

Musician turned web developer turned teacher turned web developer turned musician.

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