Turning Vinyl Record Player Crackling – https://youtu.be/MhjluqS8xnE – Creative Commons Attribution license (reuse allowed)
L’histoire Intemporelle de la Musique, de l’amour et de la Résistance au Cœur de Paris
« La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux. » — Victor Hugo
Google’s Deep Dive Podcast : Justine — Une symphonie parisienne de défi et de révérence
Introduction
Plongée dans le Paris des années 1920, l’histoire de Justine illustre la puissance de la musique comme moteur de rencontre, de résistance et de mémoire. Nous explorerons trois axes principaux : la rencontre musicale entre Justine et Jaurès, leur vie sous l’occupation et leurs actes de résistance, puis l’héritage durable de leur passion partagée. Chacun de ces volets révèle comment l’amour de la musique transcende les obstacles, forge des liens indéfectibles et laisse une trace impérissable. À travers une narration immersive et des détails historiques, cet article propose un regard inclusif sur le destin singulier de ces deux âmes créatives. Préparez-vous à découvrir comment une simple mécanique – le Pathéphone – est devenue l’instrument d’une révolution intime et collective.
La rencontre et la communion musicale
En 1920, Justine, célibataire et moderniste, fait tourner son Pathéphone dans un salon de Montparnasse, attirant l’attention non par sa beauté, mais par son irradiation créative. Jaurès, violoniste engagé et socialiste, ressent la force de son écoute comme un appel irrésistible. Cette première nuit au bord de la Seine, ils ne parlent guère, mais leur musique tisse un dialogue plus éloquent que n’importe quel discours. Les disques de jazz, Debussy et les expérimentations dadaïstes deviennent autant de ponts entre leurs univers respectifs. Ce moment inaugural pose les bases d’une relation fondée sur le respect mutuel, l’admiration artistique et la quête d’une harmonie plus vaste que la simple performance. Leur communion musicale symbolise l’union de l’individuel et du collectif, où chaque note est un engagement partagé.
Vie et résistance sous l’occupation
Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, Paris sombre dans le silence oppressant de l’occupation. En 1942, Jaurès est arrêté pour ses opinions politiques et sa musique subversive. Plutôt que de fuir, Justine reste, armée de son Pathéphone et d’une détermination sans faille. Chaque soir, elle diffuse les solos de violon de son compagnon, défiant les interdits et maintenant vivante la flamme de la liberté. Ces actes, simples en apparence, résonnent comme un manifeste de résistance culturelle. Elle transforme son salon en tribune clandestine, rappelant à ses voisins et à l’ennemi que la musique est un langage universel et indomptable. Ce courage silencieux témoigne de l’engagement de deux artistes renommant l’art en arme pacifique.
Héritage et mémoire intemporelle
Après la guerre, Justine et Jaurès retrouvent la vie normale, mais leur histoire ne s’éteint pas avec les dernières notes sur le disque. Jusqu’aux années 1970, leur appartement près de la rue des Martyrs reste un sanctuaire musical où le Pathéphone tourne inlassablement. Leur voyage à Berlin, Tanger ou Vienne, et leur refus de la possession, illustrent une vision de l’art comme bien commun. Les débats entre littérature, philosophie et esthétique (Baudelaire, Marx, Picasso) jalonnent leur quotidien, faisant de chaque disque un acte de partage intellectuel. Leur passion légitime une idée forte : la musique lie les époques, traverse les frontières et scelle les coeurs. Ainsi, leur duo se perpétue dans la mémoire collective des amateurs de musique et des résistants culturels.
Conclusion
En récapitulant, nous avons suivi la rencontre magique entre Justine et Jaurès, exploré leur vie de résistance sous l’occupation et admiré l’héritage poignant qu’ils ont laissé derrière eux. Chaque volet souligne que la musique est bien plus qu’un simple divertissement : elle est catalyseur de rencontres, vecteur de résistance et gardienne de la mémoire. Le parcours de ces deux Parisiens nous invite à célébrer l’inclusion, le partage et la solidarité artistique. À travers le Pathéphone, ils nous enseignent qu’un art sincère peut ébranler les silences les plus épais. Puissions-nous retenir de leur histoire la force d’une symphonie intime capable d’unir les âmes et de résister au temps.
Justine – Un Pathéphone Dans Son Cœur
Paris, 1920
Justine était une femme célibataire, indépendante et têtue qui vivait à Paris en 1920. Elle était résolument moderniste, embrassant le changement culturel, avec une attirance particulière pour tout ce qui était mécanique — surtout le phonographe Pathéphone. Lors des événements sociaux, elle s’éloignait de la foule et se tournait vers la musique, qu’elle adorait. La musique n’était pas qu’un passe-temps pour elle — c’était une force, un langage, une grande part de sa vie et de sa personnalité.
Un soir, lors d’un rassemblement bondé à Montparnasse, elle tourna de nouveau le dos aux hommes qui tournaient autour d’elle comme des papillons de nuit. À la place, elle se pencha sur un Pathéphone brillant avec son grand pavillon en laiton, sélectionnant des disques 78 tours en gomme-laque avec la précision et le soin d’une conservatrice. Un disque après l’autre, elle les jouait non pas pour attirer l’attention, mais pour la joie, créant une symphonie de son propre cru. Ses amies l’encourageaient en trinquant et riant. Les hommes boudaient — peu habitués à être ignorés.
Tous sauf un.
Jaurès était un musicien connu et un socialiste convaincu. Il portait le poids de l’après-guerre dans sa musique — mélancolique et fière, emplie de lutte et d’espoir. Son violon s’exprimait en tons douloureux, mais lui-même était silencieux, sérieux et contemplatif. Beaucoup l’aimaient pour sa musique, mais l’évitaient pour ses convictions politiques. Ce soir-là, il ne s’intéressait ni à la mode, ni aux flirtations banales, ni aux bavardages inutiles — seulement à un verre tranquille de cognac dans un coin.
Jusqu’à ce qu’il entende le phonographe joué comme une symphonie.
Il l’observa de l’autre côté de la pièce — non parce qu’elle était belle (bien qu’elle le fût, d’une manière austère et sans fioritures), mais parce qu’elle traitait la machine et la musique comme quelque chose de sacré. Elle ne se produisait pas : elle résonnait. Et cela, pour Jaurès, était rare.
Il s’approcha. Elle leva les yeux, déjà à moitié souriante. Il y avait quelque chose en lui… quelque chose qu’elle perçut.
Ils parlèrent — d’abord du disque qu’elle venait de jouer. Puis d’autres. Puis de compositeurs. Puis de mouvements. Puis de sens. Cela coula de source. Rapidement, la fête s’évanouit autour d’eux. Ils se retrouvèrent dehors sous la lune, leur souffle visible dans l’air frais, parlant sans fin : de philosophie, de politique, de Dieu, de révolution, de son, de silence, d’art, de guerre, d’hommes, de femmes.
Elle écoutait avec intensité. Il parlait avec passion. Elle le laissa faire. Puis elle le fit taire.
Aussi soudainement que cela avait commencé, elle l’attrapa. Sans préambule ni permission, mais avec force et désir. Elle l’entraîna dans une alcôve sombre le long de la Seine et l’embrassa si fort qu’il laissa tomber son cognac, le verre se brisant à leurs pieds. Elle le remarqua, mais cela la rapprocha encore plus de lui, avec un abandon sauvage qu’elle désirait depuis des années, sans jamais l’avoir trouvé. Jusqu’à cette nuit-là.
« Tu vas me ramener chez moi », dit-elle — ce n’était pas une demande, mais une déclaration.
Ils marchèrent dans les rues calmes de minuit à Paris, les ombres s’accumulant entre les lampadaires à gaz. Lorsqu’ils arrivèrent à son appartement, il hésita. Il lui offrit une bonne nuit galante, mais elle attrapa le revers de son manteau, ouvrit sa porte et l’attira à l’intérieur, dans son domaine.
L’intérieur du loft avait de hauts plafonds et était rempli de musique — partitions, instruments, disques, l’odeur du bois et de la cire. Ils ne parlèrent plus cette nuit-là, pas avec des mots.
Ils firent de la musique jusqu’à l’aube, puis succombèrent enfin au sommeil.
L’appartement de Justine n’était pas grand, mais il débordait de vie. Les rayons du soleil filtraient à travers des rideaux de mousseline ce premier matin, et la musique flottait dans chaque recoin au crépuscule. Son Pathéphone trônait comme un autel au centre de tout cela, avec des disques 78 tours empilés à côté — du jazz de La Nouvelle-Orléans, du Debussy, et beaucoup d’étranges enregistrements dadaïstes de Zurich et de Berlin. Elle vivait entourée de contradictions : livres poussiéreux et chrome étincelant, verres d’absinthe et plans, robes de soie suspendues à côté d’un casque de moto.
Cette première nuit avec Jaurès n’était pas une culmination — c’était une ignition.
Il se réveilla au doux bruissement d’elle dans la cuisine, pieds nus, enveloppée dans une robe comme un moine du modernisme, versant du café pendant que le Pathéphone murmurait une sonate pour violon mélancolique. Elle l’avait placée intentionnellement — une pièce polonaise qu’il avait mentionnée une seule fois, à peine, la nuit précédente. Déjà, elle prouvait qu’elle écoutait d’une manière que personne n’avait jamais eue.
Il se leva, encore à moitié dans ses rêves. Ils ne parlèrent pas. Les mots étaient rares entre eux le matin, mais leurs silences étaient des conversations : son regard longeant la courbe tachetée de son épaule, son sourire en coin alors qu’elle posait l’aiguille sur un disque.
Ils devinrent inséparables — mais jamais dépendants.
Leur amour grandissait non par la possession, mais par le reflet. Elle était la flamme, lui la fumée. Ou peut-être l’inverse. Ils se lisaient mutuellement : Baudelaire, Marx, Colette. Ils se disputaient au sujet de Stravinsky et de Saint-Simon. Ils débattaient des mérites des distorsions de Picasso et de la montée du futurisme à Rome. Il défiait son individualisme ; elle taquinait son collectivisme. Elle croyait que les machines pouvaient être de la poésie ; il disait que les violons étaient des machines pour l’âme.
Les soirées appartenaient à la ville. Ils erraient dans Montmartre et le Quartier Latin, se glissant dans des cafés où les serveurs les connaissaient, et parfois dans des réunions anarchistes, où Justine défiait chaque orateur jusqu’à ce qu’ils quittent le podium.
Les nuits leur appartenaient. La lumière des bougies dansait sur les pavillons en laiton et les violons brisés. Ils dansaient pieds nus sur des parquets usés, Justine tenant le bras du Pathéphone comme un calice, tandis que Jaurès improvisait un contrepoint au violon avec une corde manquante.
Un hiver, alors que la révolution chuchotait dans les ruelles des usines et que le champagne coulait encore lors des soirées mondaines, Justine fit une proposition — sans proposition.
« Nous ne nous marions pas », dit-elle. « Nous vivons. Cela suffit. »
Il acquiesça. Il n’avait jamais voulu la posséder, seulement graviter autour d’elle.
Les années passèrent. Le Pathéphone se raya et se cabossa, mais il chantait encore. Les disques s’usaient, mais ils tournaient encore. Ils voyagèrent ensemble à Berlin, à Tanger, à Vienne — où Justine frappa un fasciste dans un café, et Jaurès embrassa ses jointures ensuite.
Elle vieillit comme l’obsidienne — sombre, polie, inflexible. Il vieillit comme le parchemin — froissé, doré, fragile dans son humanité.
Lorsque la Seconde Guerre menaça, ils retournèrent à Paris. La ville s’assombrit de nouveau, comme en 1914, mais leur maison resta une lampe de musique et de folie.
En 1942, Jaurès fut arrêté — ses opinions trop bruyantes, sa musique trop bouleversante. On la prévint, doucement, par des amis. « Pars. Tu es encore libre. »
Mais elle ne partit pas. Elle resta. Elle fit tourner le Pathéphone chaque nuit, assez fort pour que les voisins entendent. Elle jouait des enregistrements de son violon, encore et encore, comme si le son pouvait résister au silence, comme si l’amour pouvait résonner si fort qu’il noierait les bottes dans la rue.
Quand il revint — miraculeusement, amaigri et gris — il la retrouva exactement pareille. Attendant. Un disque tournant. Le même café, les mêmes livres. Un baiser si long qu’il plia le temps.
Ils vécurent jusque dans les années 1970, oubliés par beaucoup, vénérés seulement par quelques-uns qui se souvenaient. Paris changea, et le monde aussi. Mais dans leur appartement près de la rue des Martyrs, un Pathéphone jouait toujours, et deux âmes dansaient encore, défiantes et tendres, obstinées, sublimes.
Les Chansons
Pourquoi 18 Chansons?
Dans la culture française, le nombre 18 porte une signification riche—à la fois symbolique, historique et émotionnelle. Il est avant tout le numéro d’urgence des pompiers, évoquant la protection, l’urgence, et l’intervention passionnée—une métaphore idéale du sauvetage émotionnel ou de l’incendie intérieur. Sur le plan historique, le « 18 Brumaire » marque un tournant majeur : le coup d’État de Napoléon Bonaparte en 1799, qui mit fin à la Révolution française et inaugura une nouvelle ère—associant le 18 à des thèmes de bouleversement, de transformation et de renaissance. D’un point de vue culturel, 18 est l’âge de la majorité légale, le moment où l’on acquiert pleinement ses droits, son indépendance et la reconnaissance sociale—le passage de l’innocence à la souveraineté. Pour un·e francophile, le 18 ne se réduit pas à un simple chiffre, mais incarne un symbole d’éveil, de puissance et de changement, nourri par le feu, l’histoire, et la révolution.
Deux Fois
Verse 1
Dans le jardin du château endormi Les fleurs s’inclinent sous la lune pâle Entre les murs de pierre, mes pas ralentis Cachent un message, oh si fragile
Chorus
Les fleurs parlent en silence Dans ce jardin d’espérance Je trace les mots interdits Pétale par pétale, la nuit (La vie est ainsi) Post-chorus
La, la la la, la la la (La vie est ainsi)
Verse 2
Chaque matin je tresse les tiges Dans une danse de blanc immaculé Les gardes passent, ignorant les vestiges De nos rencontres dans l’herbe perlée
Chorus
Les fleurs parlent en silence Dans ce jardin d’espérance Je trace les mots interdits Pétale par pétale, la nuit (La vie est ainsi)
Solo
Medieval harp and vielle instrumental
Bridge
Dans l’aube naissante Les pétales dansent Le temps s’arrête Quand les fleurs chantent Notre romance
Verse 3
Au crépuscule, tout disparaît Mais les bouquets gardent nos secrets Dans ce langage que nous seuls connaissons L’amour fleurit en toute saison
Chorus
Les fleurs parlent en silence Dans ce jardin d’espérance Je trace les mots interdits Pétale par pétale, la nuit (La vie est ainsi)
Outro
La, la la la, la la la (Les fleurs parlent toujours…)
Vinyl crackle fades out
Obsidienne
Intro – harpsichord flourish
Verse 1
Dans les couloirs silencieux du soir Je marche seule, pas après pas Ces regards fixes dans l’obscurité Me poursuivent, ne me quittent pas
Refrain
Les yeux qui me suivent toujours Les yeux qui me suivent toujours (Les yeux, les yeux) Sans adieu, sans un mot d’amour
Verse 2
Chaque visage peint sur les murs anciens Garde son secret, son mystère profond Je cherche en vain une trace du temps Dans ces pupilles qui jamais ne dorment
Refrain
Les yeux qui me suivent toujours Les yeux qui me suivent toujours (Les yeux, les yeux) Sans adieu, sans un mot d’amour
Bridge
Putain, je voudrais fermer les yeux Mais ils sont là, ils sont partout Ces témoins muets de mes aïeux Qui me fixent jusqu’au bout
Verse 3
La poussière danse dans la lumière Ces visages me connaissent par cœur Je vieillis seule sous leurs regards Pendant qu’ils restent dans leur splendeur
Refrain
Les yeux qui me suivent toujours Les yeux qui me suivent toujours (Les yeux, les yeux) Sans adieu, sans un mot d’amour
Outro
Les yeux qui me suivent toujours (Qui me suivent) Les yeux qui me suivent toujours (Sans adieu) Les yeux qui me suivent toujours harpsichord fades
Renaissance
Verse 1
Je marche seule ce soir Sur les quais mouillés par la pluie Les pas sur les pavés Font danser mes pensées d’autrefois Le vent me porte la musique D’un accordéon qui joue au loin
Pre-chorus
Oh-la-la-la, la vie qui passe Oh-la-la-la, le temps s’efface Chorus
Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs (Dansent comme mes souvenirs) Les lumières sur la Seine racontent mon histoire (Racontent mon histoire)
Verse 2
Le parfum de la nuit Me rappelle nos rendez-vous Sur ce même chemin Où maintenant je suis toute seule Les couples qui passent devant moi Font tourner la valse du temps
Pre-chorus
Oh-la-la-la, la vie qui passe Oh-la-la-la, le temps s’efface
Chorus
Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs (Dansent comme mes souvenirs) Les lumières sur la Seine racontent mon histoire (Racontent mon histoire)
Bridge
Minuit sonne Le cœur résonne La Seine coule Le temps roule
Verse 3
Je ne regrette rien Car la vie m’a bien appris Que chaque moment compte Comme ces reflets sur l’eau Et ce soir je comprends enfin Que ma danse continue toujours
Chorus
Les lumières sur la Seine dansent comme mes souvenirs (Dansent comme mes souvenirs) Les lumières sur la Seine racontent mon histoire (Racontent mon histoire)
Entre les rayons Je marche doucement Quelqu’un tourne une page Le temps s’arrête, un instant
Chorus
Dans les allées, chaque silence a son histoire Dans les allées, les mots deviennent mémoire Piano interlude
Verse 2
Une jeune fille lit Les yeux fermés parfois Un vieil homme sommeille Sur sa chaise en bois Les étudiants, têtes baissées Écrivent leur avenir
Chorus
Dans les allées, chaque silence a son histoire Dans les allées, les mots deviennent mémoire Piano bridge
Verse 3
Les amoureux cachés Derrière les dictionnaires Une mère et son enfant Parcourent les imagiers Le soleil d’après-midi Traverse les fenêtres Les poussières dansent Dans la lumière
Chorus
Dans les allées, chaque silence a son histoire Dans les allées, les mots deviennent mémoire
Outro
Je garde leurs secrets (Je garde leurs silences) Entre les pages du temps (Entre les pages blanches)
Lettres Intemporelles
Intro: Piano
Verse 1
Dans ce tiroir ancien Des papiers jaunis Une enveloppe sans timbre Et ton nom écrit de ma main Je tremble un peu Les mots d’hier me regardent Comme un reproche doux Dans la lumière du soir
Pre-chorus 1
Les phrases que je n’ai pas envoyées Dansent encore sur le papier (Sur le papier, sur le papier)
Chorus
Dans ce tiroir, les mots jamais dits Cachés depuis vingt ans, mon amour Dans ce tiroir, notre histoire endormie Réveillée par mes doigts, ce jour (Ce jour, ce jour)
Verse 2
“Mon cher amour,” j’écrivais “Je pars demain matin” Les mots si simples maintenant Impossibles à dire avant Le temps a passé Mais l’encre est toujours là Sur cette page froissée Qui garde nos secrets
Pre-chorus 2
Les phrases que je n’ai pas envoyées Me reviennent comme hier (Comme hier, comme hier)
Chorus
Dans ce tiroir, les mots jamais dits Cachés depuis vingt ans, mon amour Dans ce tiroir, notre histoire endormie Réveillée par mes doigts, ce jour
Bridge
Ah…
Extended vocalization
Le temps qui passe Ne change rien aux regrets Mais peut-être… peut-être…
Final Verse
Cette lettre restera Dans son tiroir fermé Car les mots d’aujourd’hui Sont différents de ceux d’hier
Outro
Dans ce tiroir… Les mots jamais dits… (Jamais dits…)
Verse 1
Je te vois là, si loin de moi Dans la lumière du soir Une petite voix qui parle tout bas Me ramène dans l’histoire Les années passent comme le vent Mais ton rire reste présent
Chorus
Réflexions
Dans ce miroir, deux âmes dansent (Deux âmes dansent) Le temps nous tient en balance (En balance) Je cherche encore ton innocence Dans cette douce ressemblance
Verse 2
Les yeux fermés, je peux te voir Jouer dans le jardin Les rubans bleus, les beaux espoirs D’un bonheur enfantin Les souvenirs comme un parfum Me ramènent vers ce matin
Chorus
Dans ce miroir, deux âmes dansent (Deux âmes dansent) Le temps nous tient en balance (En balance) Je cherche encore ton innocence Dans cette douce ressemblance
Bridge
Je te parle tout doucement Comme une confidence Entre nous deux, le temps suspend Son vol en silence
Verse 3
Les années m’ont appris enfin À voir au-delà De ce reflet qui me retient Entre hier et là Je tends la main vers cet instant Où nous dansons maintenant
Chorus
Dans ce miroir, deux âmes dansent (Deux âmes dansent) Le temps nous tient en balance (En balance) Je cherche encore ton innocence Dans cette douce ressemblance
Contradiction
Verse 1
Je m’assois devant ma coiffeuse ce soir Les bougies vacillent sur le velours noir Chaque soir je contemple ton portrait Dans ce cadre doré qui ne change jamais Ces soirées au Moulin, ces valses sans fin Où ton regard cherchait le mien Tu dansais comme un prince, mon bel inconnu Dans ces salons où je t’ai perdu
Chorus
Dans ce miroir, je vois mille visages Mais le tien seul reste à travers les âges
Verse 2
Les années passent comme l’eau sous les ponts Les robes de soie, les bijoux, les passion Tu m’appelais ta “petite étoile” Quand Paris dormait sous son voile Ces lettres parfumées, ces mots d’amour Que tu m’écrivais chaque jour Maintenant s’effacent dans le temps qui fuit Comme des roses fanées dans la nuit
Chorus
Dans ce miroir, je vois mille visages Mais le tien seul reste à travers les âges
Bridge
Le temps a changé nos destins Les valses se sont tues au matin Mais dans mon cœur, comme une flamme Brûle encore notre mélodie, mon âme
Verse 3
Je trace du doigt les lignes du passé Sur cette glace qui refuse d’oublier Les violons jouent encore notre chanson Dans les échos de ma raison Ces souvenirs sont mes seuls trésors Plus précieux que les robes d’or Et chaque nuit, dans mes pensées qui dérivent Je danse encore, belle et vive
Chorus
Dans ce miroir, je vois mille visages Mais le tien seul reste à travers les âges
Parfum d’Absinthe
Verse 1
Mon verre attend Le sucre fond doucement La cuillère d’argent Dans mes doigts dansant Comme ton regard brûlant Goutte à goutte, mon amour Pre-chorus
(Mmm… la la la) Je prépare notre poison Avec tant de passion Chorus
Goutte à goutte, mon amour L’eau claire sur le sucre, toujours La fée nous appelle au rendez-vous Goutte à goutte, jusqu’au bout Ce soir nous serons fous Dans les bras l’un de l’autre, nous deux
Verse 2
L’absinthe verdit Mes lèvres te sourient Le temps ralentit Nos corps se rapprochent ici Dans cette danse qui nous unit Goutte à goutte, mon amour
Pre-chorus
(La la la… mmm) Le parfum nous enivre déjà Cette nuit nous guidera
Chorus
Goutte à goutte, mon amour L’eau claire sur le sucre, toujours La fée nous appelle au rendez-vous Goutte à goutte, jusqu’au bout Ce soir nous serons fous Dans les bras l’un de l’autre, nous deux
Bridge
L’heure est venue Mon corps contre le tien Plus rien ne nous retient (Ah… la la la)
Le Calcul Infini
Verse 1
Je te regarde de loin Tu ne me vois pas encore Dans l’espace entre nous deux Les lignes se dessinent, doucement
Pre-chorus
Les angles de nos regards (la-la-la) Se croisent dans l’air du soir Les angles de nos regards (la-la-la) Une danse calculée
Chorus
Tangente de mon cœur Qui suit ta trajectoire Les angles de nos regards Se multiplient ce soir (La-la-la, la-la-la)
Verse 2
Chaque pas mesuré Dans ce ballet précis Les distances varient Selon nos mouvements La formule parfaite
Pre-chorus
Les angles de nos regards (la-la-la) Se croisent dans l’air du soir Les angles de nos regards (la-la-la) Une danse calculée
Bridge
Dans l’infini de tes yeux Je trace des cercles parfaits Ma main cherche la tienne Comme deux points sur un plan (Oh-oh-oh)
Verse 3
Les parallèles se brisent Quand tu t’approches de moi L’équation se résout Dans un seul mouvement
Chorus
Tangente de mon cœur Qui suit ta trajectoire Les angles de nos regards Se multiplient ce soir (La-la-la, la-la-la)
Notes de Café
Verse 1
Sur la place du Tertre, tranquillement Je m’assois, je regarde les passants Son chevalet usé, ses pinceaux fatigués (La la la, doucement)
Chorus
Les portraits du dimanche Le temps qui s’épanche Dans ses mains qui tremblent un peu (Oh, les portraits du dimanche)
Verse 2
Les touristes défilent devant lui Il capture leurs sourires, leurs vies Ses traits sont moins précis qu’autrefois (La la la, autrefois)
Chorus
Les portraits du dimanche Le temps qui s’épanche Dans ses mains qui tremblent un peu (Oh, les portraits du dimanche)
Bridge
Maintenant la place a changé Son chevalet reste rangé Je passe, je me souviens De ces dimanches anciens
Final Chorus
Les portraits du dimanche (Les derniers portraits) Le temps qui s’épanche Dans nos cœurs qui tremblent un peu (Oh, les portraits du dimanche)
Rêverie de Jazz
Intro
La-la-la, la-la-la-la (Mmm… la-la-la…)
Verse 1
Je prends mon café comme avant Dans ce bistrot charmant L’air du matin si doux, si lent Me berce doucement Et puis soudain, je l’entends Un son si familier Qui fait danser le temps Dans mon cœur oublié
Chorus
Son rire danse encore Dans l’air du café Son rire danse encore Et je ne peux m’empêcher (La-la-la, la-la-la…)
Verse 2
Les tasses tintent en cadence Avec mes souvenirs Dans cette douce romance Qui me fait sourire Je ferme les yeux un instant Les notes de jazz s’envolent Et mon cœur maintenant Joue son propre rôle
Solo
Guitar and violin trading solos
(La-la-la… mmm…)
Bridge
Le temps a passé Mais ce son précieux Reste gravé Dans mes jours heureux
Chorus
Son rire danse encore Dans l’air du café Son rire danse encore Et je veux le garder
Outro
La-la-la, son rire danse La-la-la, dans le silence (Son rire danse encore…) (Son rire danse encore…)
Lanternes
Intro
(Mmm… la la la…)
Verse 1
Dans le bleu du soir qui s’installe Les premiers volets s’ouvrent lentement Une mélodie verticale Entre les murs d’appartement
Pre-chorus
Chaque fenêtre, une lanterne Dans la pénombre qui descend (Ooh, dans la pénombre…)
Chorus
Les lumières s’éveillent une à une Comme des lanternes de papier Chaque histoire sous la lune Un tableau qu’on ne peut copier (Un tableau… mmm…)
Verse 2
Au troisième, une silhouette danse Piano solitaire au cinquième Deux amants dans leur romance Au septième, un enfant qui sème
Chorus
Les lumières s’éveillent une à une Comme des lanternes de papier Chaque histoire sous la lune Un tableau qu’on ne peut copier
Bridge
Je compte les vies qui brillent (La la la…) Dans cette galerie fragile (Ooh… la vie…)
Verse 3
Le temps suspend son vol ce soir Entre les rideaux de dentelle Mes yeux gardent leur mémoire De ces fenêtres qui m’appellent
Outro
(La la la… mmm…) Les lanternes de papier S’éteignent dans la nuit (Doucement… la nuit…)
Lèche-Vitrine
Verse 1
Ma petite robe, que me racontes-tu? Ces aventures d’un temps révolu Sur mes épaules, tu étais si belle Dans les soirées pleines d’étincelles
Pre-chorus
(La la la, dis-moi tout) (La la la, je t’écoute)
Chorus
Ma petite robe, que me racontes-tu? Des souvenirs qui me font sourire Ma petite robe, que me caches-tu? Des moments qu’on ne peut pas traduire
Verse 2
Je me souviens de ce soir de mai Quand il m’a prise dans ses bras, j’aimais Ton tissu doux contre ma peau Tu gardais tous mes secrets, mes mots
Pre-chorus
(La la la, dis-moi tout) (La la la, je t’écoute)
Chorus
Ma petite robe, que me racontes-tu? Des souvenirs qui me font sourire Ma petite robe, que me caches-tu? Des moments qu’on ne peut pas traduire
Breakdown
Spoken, with soft piano
Ah, ma confidente de soie Tu as vu mes joies, mes peines Mes danses jusqu’au matin Et maintenant… maintenant…
Bridge
Le temps a passé, mais tu es là Témoin silencieux de mes pas Dans mes tiroirs, oubliée peut-être Mais dans mon cœur, toujours en fête
Final Chorus
Ma petite robe, que me racontes-tu? (Oh, raconte-moi encore) Ma petite robe, que me caches-tu? (Ces histoires que j’adore)
Outro
La la la, la la la (Tous ces beaux souvenirs) La la la, la la la (Qui me font tant plaisir)
Éphémère
Verse 1
Je regarde le temps qui passe Dans ce reflet si familier Mes doigts effleurent la surface Où tout semblait multiplié
Chorus
Le temps s’arrête, je le vois Dans ce moment cristallisé Mes yeux fixés, je ne bouge pas Les aiguilles sont figées (Les aiguilles sont figées)
Verse 2
Les larmes coulent en silence Sur le verre froid du matin Je garde cette souvenance D’un au revoir sans lendemain
Piano Solo
Dramatic rubato, building intensity
Chorus – Final
Le temps s’arrête, je le vois Dans ce moment cristallisé Mes yeux fixés, je ne bouge pas Les aiguilles sont figées (Les souvenirs gravés)
Printemps Violet
Verse 1
Les murs du jardin, si tranquilles Le temps passe comme l’eau Dans l’air du matin si fragile Je vois son visage, si beau
Chorus
Chaque printemps me rappelle Les après-midis chez elle (Les après-midis, les après-midis) Le parfum violet qui danse Dans l’air de mon enfance (Mon enfance, douce enfance)
Verse 2
Ses mains ridées sur la terre Plantaient des fleurs en rangées Les grappes tombaient en prière Sur nos têtes protégées Les papillons de septembre Dansaient dans la lumière d’ambre
Chorus
Chaque printemps me rappelle Les après-midis chez elle (Les après-midis, les après-midis) Le parfum violet qui danse Dans l’air de mon enfance (Mon enfance, douce enfance) Bridge
J’entends sa voix qui chantonne Les vieilles chansons d’autrefois Le vent dans les feuilles résonne Comme les notes de sa voix
Verse 3
Maintenant je suis plus âgée Que celle dans mes souvenirs Le jardin reste inchangé Les fleurs continuent de fleurir Et quand je ferme les yeux Je sens encore ses cheveux Qui me caressent doucement Comme les pétales au vent
Final Chorus
Chaque printemps me rappelle Les après-midis chez elle (Les après-midis, les après-midis) Le parfum violet qui danse Dans l’air de mon enfance (Mon enfance, dernière danse)
L’effacement de Cristal
Verse 1
Je te regarde Dans cette lumière matinale Plus fragile que le verre (Plus fragile que le verre)
Verse 2
Tes yeux fermés Les mots qui se brisent Plus fragile que le verre (Plus fragile que le verre)
Bridge
Ma petite, ma fille Tellement de temps perdu Tape manipulation effect
Plus fra-fra-fragile Plus fragile que le verre
Verse 3
Les photos sur la table Nos mains qui se touchent presque Plus fragile que le verre (Plus fragile que le verre)
Outro
Je te vois partir Comme une danse lente Plus fragile que le verre Plus fragile…
Nocturne
Intro – piano waltz in minor key
Je marche seule ce soir Dans cette salle abandonnée Les rideaux se balancent Et mon cœur commence à trembler Danse avec moi une dernière fois Danse avec moi une dernière fois Je sens ta présence ici Un parfum que je connais bien Tes pas sur le parquet ancien (Sur le parquet ancien) Et le temps qui s’arrête enfin Danse avec moi une dernière fois Danse avec moi une dernière fois
Orchestral crescendo
Dans tes yeux je vois encore Tous nos moments d’autrefois Ta main froide dans la mienne Me guide dans nos pas lents Je ne veux pas te laisser partir Mais l’aube arrive doucement Danse avec moi une dernière fois Danse avec moi une dernière fois
Les notes s’estompent (S’estompent) Le jour se lève (Se lève) Tu t’éloignes déjà (Tu t’en vas) Danse avec moi une dernière fois Danse avec moi une dernière fois (Une dernière fois) Orchestral fade
L’écho des Contraires
Verse 1
Le papier blanc Sous ma main Les mots pesants Sans fin La plume danse En silence
Pre-chorus
Je trace les lignes Comme avant Les phrases dignes Du temps présent
Chorus
J’écris sans adresse Dans le vide Mes tendresses Qui résident Dans ces pages Sans voyage
Verse 2
Chaque matin Je reprends Ce même refrain Comprends Que les mots restent Si modestes
Bridge
La la la la (Mmm, mmm) Ah ah ah ah (Ooh, ooh) Vocalise
Verse 3
L’encre s’étend Sur mon coeur Les sentiments Sans peur Les mots s’effacent Dans l’espace
Chorus
J’écris sans adresse Dans le vide Mes tendresses Qui résident Dans ces pages Sans voyage
Outro
(Mmm, sans adresse) Dans le silence…
🐃 Justine: Symphony of Defiance and Reverence
This source presents an excerpt from a piece titled “Justine: Une Symphonie de Défi et de Révérence” by TATANKA, a website focused on music and mission-driven topics. The article, generated with AI tools, tells the story of Justine and Jaurès in 1920s and wartime Paris, highlighting the power of music in their relationship, as an act of resistance during the occupation, and its lasting legacy. It includes a narrative and lyrics for eighteen songs, each with symbolic significance in French culture, contributing to the immersive portrayal of the characters and their experiences. The website itself features information about TATANKA’s mission, including AI, DEI, and SDGs, along with recent posts and tag clouds related to these themes and music.
Briefing Document: “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence (AI Gen)” – TATANKA
Date: May 3, 2025
Source: Excerpts from “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence (AI Gen) – TATANKA” (AI Generated Content using ChatGPT, Riffusion.com, Audacity 3.7.1, Ubuntu 24.10)
Summary:
This document provides a briefing on the AI-generated work titled “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence” by TATANKA. The work is described as an “untimely history of music, love and resistance in the heart of Paris,” exploring the narrative of two characters, Justine and Jaurès, through a blend of narrative and song lyrics. The core themes revolve around the power of music to connect individuals, serve as a form of resistance, and preserve memory across time. The Pathéphone, a type of phonograph, is presented as a central symbolic object.
Main Themes:
The Power of Music: Music is consistently portrayed as a transformative force, capable of forging deep connections, transcending barriers, and serving as a language more eloquent than words. The narrative highlights how music acts as a “catalyst for encounters, a vector of resistance and a guardian of memory.”
Love and Connection: The relationship between Justine and Jaurès is depicted as being founded on mutual respect, artistic admiration, and a shared “quest for a wider harmony.” Their connection is initially sparked by their shared appreciation for music and deepens through intellectual and artistic engagement. Their bond is described as growing “not by possession, but by reflection.”
Resistance: The story emphasizes acts of cultural resistance during the Nazi occupation of Paris. Justine’s decision to stay and play Jaurès’s violin recordings as a defiant act against silence and prohibition is a key illustration of this theme. This “silent courage” is presented as a form of “renaming art as a peaceful weapon.”
Legacy and Memory: The narrative underscores the enduring impact of Justine and Jaurès’s story and their passion for music. Their apartment becomes a “musical sanctuary” where their Pathéphone continues to play, symbolizing how their “duo perpetuates itself in the collective memory of music lovers and cultural resistors.”
Individuality and Collectivism: The dynamic between Justine’s individualism and Jaurès’s collectivism is explored, suggesting a complementary relationship where they challenge and learn from each other.
Defiance and Tenderness: The core of their relationship and their approach to life is described as being both “defiant and tender, stubborn, sublime.”
Most Important Ideas/Facts:
Characters:Justine: An independent, modern, and stubborn woman living in Paris in 1920. She is deeply attracted to mechanical objects, particularly the Pathéphone, and views music as a central force in her life. She embodies a “creative irradiation.”
Jaurès: A known musician and committed socialist whose music reflects the post-war struggles. He is described as silent, serious, and contemplative, drawn to Justine’s reverence for music.
Setting: The story is primarily set in Paris, spanning the 1920s through the 1970s, with significant events occurring during the Nazi occupation (specifically 1942).
The Pathéphone: This mechanical device is a pivotal symbol. It facilitates the initial connection between Justine and Jaurès, serves as Justine’s tool of resistance during the occupation, and represents the enduring presence of their passion and memory after the war. It is described as becoming “the instrument of an intimate and collective revolution.”
Acts of Resistance: Jaurès is arrested in 1942 for his political opinions and “subversive music.” Justine’s act of playing his violin recordings publicly each night is the central example of her resistance, defying prohibitions and keeping the “flame of liberty” alive.
Intellectual and Artistic Engagement: Justine and Jaurès’s life is characterized by debates on literature, philosophy, and aesthetics, citing figures like Baudelaire, Marx, and Picasso. Each record played is considered an “act of intellectual sharing.”
AI Generation: The source explicitly states that this work was generated using AI tools, including ChatGPT and Riffusion.com, highlighting its contemporary creation method.
Significance of the Number 18: The inclusion of 18 songs is explained through the rich symbolism of the number 18 in French culture, representing protection, transformation, and the age of legal majority. This adds a layer of cultural meaning to the structure of the work.
Key Quotes:
“La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux.” (Victor Hugo) – This quote prefaces the narrative and sets the stage for the central role of music.
“Ce moment inaugural pose les bases d’une relation fondée sur le respect mutuel, l’admiration artistique et la quête d’une harmonie plus vaste que la simple performance.” – Describing the beginning of Justine and Jaurès’s relationship.
“Elle transforme son salon en tribune clandestine, rappelant à ses voisins et à l’ennemi que la musique est un langage universel et indomptable.” – Highlighting Justine’s act of resistance.
“Ce courage silencieux témoigne de l’engagement de deux artistes renommant l’art en arme pacifique.” – Characterizing Justine and Jaurès’s use of art as resistance.
“Leur passion légitime une idée forte : la musique lie les époques, traverse les frontières et scelle les coeurs.” – Expressing the enduring power of music.
“À travers le Pathéphone, ils nous enseignent qu’un art sincère peut ébranler les silences les plus épais.” – Emphasizing the symbolic importance of the Pathéphone and the impact of genuine art.
“Leur amour grandissait non par la possession, mais par le reflet.” – Describing the nature of Justine and Jaurès’s relationship.
“Lorsque la Seconde Guerre menaça, ils retournèrent à Paris. La ville s’assombrit de nouveau, comme en 1914, mais leur maison resta une lampe de musique et de folie.” – Illustrating their commitment to Paris and their continued artistic life during a challenging period.
“Mais elle ne partit pas. Elle resta. Elle fit tourner le Pathéphone chaque nuit, assez fort pour que les voisins entendent. Elle jouait des enregistrements de son violon, encore et encore, comme si le son pouvait résister au silence, comme si l’amour pouvait résonner si fort qu’il noierait les bottes dans la rue.” – Detailing Justine’s key act of resistance.
“Et deux âmes dansaient encore, défiantes et tendres, obstinées, sublimes.” – A concluding description of Justine and Jaurès’s enduring spirit.
Included Songs (Lyrics):
The source includes lyrics for 18 songs, each potentially contributing to the overall narrative and themes. The song titles suggest themes related to memory, time, emotion, and specific Parisian imagery:
Deux Fois (Twice)
Obsidienne (Obsidian)
Renaissance
Allées (Walkways/Aisles)
Lettres Intemporelles (Timeless Letters)
Réflexions (Reflections)
Contradiction
Parfum d’Absinthe (Scent of Absinthe)
Le Calcul Infini (The Infinite Calculation)
Notes de Café (Coffee Notes)
Rêverie de Jazz (Jazz Reverie)
Lanternes (Lanterns)
Lèche-Vitrine (Window Shopping)
Éphémère (Ephemeral)
Printemps Violet (Violet Spring)
L’effacement de Cristal (The Effacement of Crystal)
Nocturne
L’écho des Contraires (The Echo of Opposites)
These lyrics, while not extensively analyzed in the provided text, serve as the musical “Symphony” part of the title and likely elaborate on the emotional and thematic content of the narrative.
Conclusion:
“Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence” presents an AI-generated narrative and musical work that uses the story of Justine and Jaurès in Paris to explore the profound impact of music on human connection, resistance against oppression, and the preservation of memory. The Pathéphone serves as a powerful symbol throughout the narrative. The work highlights the enduring power of art and love in the face of adversity.
FAQ
Who are Justine and Jaurès, and what is their significance? Justine and Jaurès are the central figures in “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence.” Justine is depicted as a modern, independent woman in 1920s Paris with a passion for mechanical things, particularly her Pathéphone. Jaurès is a known musician and socialist. Their significance lies in their deep connection forged through music and shared intellectual pursuits, and their story becomes a symbol of resistance and the enduring power of art during times of oppression, particularly the Nazi occupation of Paris.
How does music play a role in the relationship between Justine and Jaurès? Music is the foundational element of their relationship. Their initial connection is sparked by Justine’s engagement with her Pathéphone, which Jaurès observes and is drawn to. Their first significant interactions revolve around discussing music – jazz, Debussy, Dadaist experiments. Music serves as a language more eloquent than words, symbolizing the union of their individual and collective spirits. Their shared passion for music, including their impromptu dances and Jaurès improvising on his violin, deepens their bond throughout their lives.
What is the role of the Pathéphone in their story? The Pathéphone is presented not just as a mechanical device but as a central instrument in their story, becoming a “catalyst for encounters, a vector of resistance, and a guardian of memory.” It is the object that initially brings Justine and Jaurès together. During the occupation, Justine uses it to play Jaurès’s violin solos, transforming her salon into a clandestine platform for cultural resistance. Even after the war, it remains a constant presence in their apartment, symbolizing their enduring passion and shared history.
How did Justine and Jaurès resist during the occupation of Paris? When Jaurès is arrested for his political views and subversive music during the German occupation, Justine chooses to stay in Paris despite being warned to leave. Her act of resistance is centered around her Pathéphone. Every evening, she plays recordings of Jaurès’s violin solos loudly enough for her neighbors and the occupying forces to hear. These seemingly simple acts are portrayed as a defiant demonstration of cultural resistance, keeping the spirit of freedom and Jaurès’s music alive.
What is the lasting legacy of Justine and Jaurès? Their legacy is described as an “timeless heritage” rooted in their shared passion for music and their commitment to art as a common good. Their apartment remained a musical sanctuary for decades, and their travels and refusal of material possession illustrate their vision of art as a shared experience. Their intellectual debates and discussions, intertwined with their musical appreciation, reinforce the idea that music connects eras, transcends borders, and unites hearts. Their story serves as an inspiration for lovers of music and cultural resistors.
What is the significance of the number 18 in the context of “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence”? The inclusion of 18 songs in the project is linked to the number 18 holding rich symbolic, historical, and emotional significance in French culture. It’s the emergency number for firefighters, symbolizing protection and passionate intervention. Historically, the “18 Brumaire” marks a significant turning point, representing upheaval and transformation. Culturally, 18 is the age of legal majority, signifying independence and social recognition. In this context, 18 embodies themes of awakening, power, and change, reflecting the spirit of the story.
How is the story of Justine and Jaurès presented as an inclusive narrative? The introduction explicitly states that the article offers an “inclusive look at the singular destiny of these two creative souls.” While the specific details of this inclusion are not elaborated in the provided text beyond the focus on their intellectual and artistic connection, the phrasing suggests an emphasis on the universal themes of love, resistance, and the power of art that transcends specific identities or backgrounds.
What are some of the thematic elements explored through the song titles provided? The song titles reveal a range of themes complementing the central narrative of Justine and Jaurès. Titles like “Deux Fois,” “Obsidienne,” “Renaissance,” “Allées,” and “Lettres Intemporelles” suggest themes of duality, resilience, rebirth, the passage of time, hidden emotions, and enduring connections. “Reflections,” “Contradiction,” and “Parfum d’Absinthe” hint at introspection, internal conflict, and perhaps escapism or altered states. “Le Calcul Infini,” “Notes de Café,” “Rêverie de Jazz,” and “Lanternes” evoke specific settings, moods, and the intersection of calculated intention with spontaneous expression, everyday life with profound moments, and the interconnectedness of lives. “Lèche-Vitrine,” “Éphémère,” “Printemps Violet,” and “L’effacement de Cristal” touch upon consumerism, fleeting moments, the cyclical nature of time, and fragility. Finally, “Nocturne” and “L’écho des Contraires” suggest night settings, memory, and the lingering impact of contrasting forces.
Justine: Une Symphonie de Défi et de Révérence – Study Guide
Overview
This study guide focuses on the story of Justine and Jaurès as presented in the excerpts from “Justine : Une Symphonie de Défi et de Révérence (AI Gen) – TATANKA.” The source explores the relationship between Justine, a modern and independent woman, and Jaurès, a committed musician and socialist, in 1920s Paris, their shared passion for music, their acts of resistance during the Second World War, and the lasting impact of their story. Key themes include the power of music, love, resistance, memory, and the intersection of art and social/political beliefs.
Key Concepts
Music as Connection and Communication: How music transcends language and forms a deep bond between individuals.
Music as Resistance: The use of music as a tool to defy oppression and maintain hope during challenging times.
The Pathéphone: The significance of this mechanical device as a central element in Justine and Jaurès’s lives and acts of resistance.
Paris in the 1920s and 1940s: The contrasting atmospheres of Paris before and during the German occupation, and how these settings influenced the characters and their actions.
Legacy and Memory: How shared passion and acts of courage leave a lasting impact on collective memory.
Art and Ideology: The blending of artistic expression with political and philosophical beliefs.
The Number 18: Its symbolic significance in French culture as related to the themes of the story (emergency, transformation, coming of age).
Thematic Analysis of Songs: Understanding how the provided song lyrics (“Deux Fois,” “Obsidienne,” “Renaissance,” etc.) potentially relate to the narrative and characters of Justine and Jaurès.
Quiz
What initially attracts Jaurès’s attention to Justine at the Montparnasse gathering?
What kind of music do Justine and Jaurès enjoy together, and how does it bridge their different worlds?
What happens to Jaurès in 1942, and why?
How does Justine resist the occupation after Jaurès’s arrest?
What does the Pathéphone symbolize in the story?
Describe the atmosphere of Justine and Jaurès’s apartment after the war.
Besides music, what other intellectual interests did Justine and Jaurès share?
According to the text, what is the significance of the number 18 in French culture, and how does it relate to the themes of the story?
What can be inferred about Justine’s personality from her actions described in the story?
How is the theme of memory depicted in the story’s conclusion?
Answer Key
Jaurès is attracted by Justine’s creative emanation and how she treats the Pathéphone and the music with reverence, not just as a performance.
They enjoy jazz, Debussy, and Dadaist experiments. This music creates a dialogue and bridges their respective worlds of individualism and collectivism.
In 1942, Jaurès is arrested for his political opinions and his music, which was considered subversive during the occupation.
Justine resists by staying in Paris and playing recordings of Jaurès’s violin solos on her Pathéphone every night, defying prohibitions.
The Pathéphone symbolizes a simple mechanical device that becomes an instrument of intimate and collective revolution, catalyzing encounters, resistance, and preserving memory.
Their apartment near rue des Martyrs remained a musical sanctuary, filled with music, books, and art, symbolizing their enduring passion and resistance.
They debated literature, philosophy, and aesthetics, referencing figures like Baudelaire, Marx, and Picasso.
The number 18 signifies protection/emergency (firefighters’ number), historical transformation (18 Brumaire), and coming of age/independence (legal majority). It relates to themes of awakening, power, and change in the story.
Justine is depicted as independent, modernist, strong-willed, and defiant, particularly in her embrace of mechanical objects, her interactions at social gatherings, and her resistance during the occupation.
Memory is depicted as something that lives on through music and stories, allowing the duo’s passion and acts of resistance to perpetuate in collective memory even after their passing.
Essay Format Questions
Analyze the role of music as both a unifying force and a form of resistance in the relationship between Justine and Jaurès and in the broader context of the story.
Discuss how the historical setting of Paris in the 1920s and during the 1940s occupation shapes the characters and their actions.
Examine the symbolic significance of the Pathéphone throughout the narrative, from the initial encounter to the post-war years.
Evaluate the legacy of Justine and Jaurès’s passion and resistance. How does their story contribute to the themes of memory and the enduring power of art?
Select one or two of the provided song lyrics and analyze how their themes, imagery, or mood might reflect or expand upon specific aspects of Justine and Jaurès’s story.
Glossary of Key Terms
Pathéphone: A type of phonograph or record player, a central mechanical device in the story used by Justine to play music.
Montparnasse: A district in Paris known for its artistic and intellectual life in the early 20th century.
Socialist: A person who advocates for socialism, a political and economic theory of social organization which advocates that the means of production, distribution, and exchange should be owned or regulated by the community as a whole. Jaurès is identified as a socialist.
Dadaist: Pertaining to Dadaism, an art movement that emerged during World War I in Zurich, characterized by a rejection of logic and reason, embracing nonsense, irrationality, and intuition.
Occupation (Seconde Guerre Mondiale): The period during World War II when Paris and much of France were occupied by Nazi Germany (1940-1944).
Rue des Martyrs: A street in Paris mentioned as the location of Justine and Jaurès’s apartment after the war.
Obsidienne: Obsidian, a naturally occurring volcanic glass, described in the text as how Justine aged (dark, polished, inflexible).
Parchemin: Parchment, a material made from animal skins used for writing, described in the text as how Jaurès aged (wrinkled, golden, fragile in his humanity).
18 Brumaire: Refers to the date in the French Republican Calendar (November 9, 1799) when Napoleon Bonaparte staged a coup d’état, marking the end of the French Revolution and the beginning of the Consulate. Mentioned for its symbolic significance of transformation.
Vielle: A medieval stringed instrument, mentioned in the instrumental solo of the song “Deux Fois.”
Harpsichord: A keyboard instrument in which the strings are plucked by quills, used in the intro and outro of the song “Obsidienne.”
Absinthe: A potent alcoholic spirit, often greenish, associated with artistic and Bohemian circles in late 19th and early 20th-century Paris. Mentioned in the song “Parfum d’Absinthe.”
La place du Tertre: A square in the Montmartre district of Paris, famous for its artists. Mentioned in the song “Notes de Café.”
Bistrot: A small, modest restaurant or café in France. Mentioned in the song “Rêverie de Jazz.”
Lèche-Vitrine: Window shopping. Also the title of one of the songs.
Rubato: In music, a flexibility of tempo. Mentioned in the description of the piano solo in “Éphémère.”
Nocturne: A musical composition that is inspired by, or evocative of, the night. Also the title of one of the songs.
Vocalise: A vocal exercise or piece sung to a vowel sound rather than text. Mentioned in the bridge of the song “L’écho des Contraires.”
TATANKA
Musician turned web developer turned teacher turned web developer turned musician.